l’a b c derby
Les deux gugusses qui crient et gesticulent sur le banc des joueuses. Il y a le bench track, (qui s’occupe de communiquer avec les joueuses sur la piste, de les conseiller sur les stratégies à adopter, de garder un oeil sur le score) et le lineup manager (qui se charge de constituer les lignes à envoyer sur la piste). Elles gèrent aussi tous les petits tracas des joueuses, les calment et sont souvent équipées de chatons en peluche, barres de céréales et bombes de froid.
Impact effectué par une joueuse sur une adversaire pour la déséquilibrer ou l’empêcher d’avancer en la heurtant ou en se positionnant sur son passage. Pour ne pas être pénalisé, un blocage doit être réalisé dans les règles.
Joueuse du pack chargée de défendre et attaquer simultanément. Quatre bloqueuses sont présentes sur la piste par jam et par équipe.
Stage d’entrainement intensif organisé par une ou plusieurs ligues, auquel participent souvent des Rollergirls de partout, ayant lieu généralement sur un weekend ou plusieurs jours qui peut comprendre des moments d’entrainements, du off skate, des cours de stratégie, du scrimmage…
Joueuse expérimentée, ayant déjà brillé sur la piste à plusieurs reprises pendant des matchs épiques.
Une Jammer a pris un tour à la Jammer adverse et marque un point supplémentaire.
Une période est composée de plusieurs phases de jeu successives, appelées « jams », pendant lesquelles les deux équipes s’affrontent. Chaque jam peut durer au maximum deux minutes et est séparé du suivant par une pause de trente secondes. Il n’y a pas de nombre limite de jams par période.
La seule joueuse en jeu apte à marquer des points en dépassant les joueuses adverses. Deux Jammers, une pour chaque équipe, sont alignées sur la piste à chaque jam. La Jammer est reconnaissable grâce aux étoiles sur son couvre-casque.
Au premier passage, la première Jammer qui arrive à traverser le pack légalement en dépassant la Bloqueuse adverse la plus en avant acquiert le statut de lead jammer. C’est un avantage stratégique : elle possède alors le droit d’arrêter le jam quand elle veut, en tapotant sur ses hanches, avant la fin des deux minutes réglementaires au moment le plus favorable pour son équipe.
Rencontre officielle entre deux équipes. Un match dure une heure, deux périodes d’une demi-heure.
Aptitudes minimales nécessaires pour participer aux matchs : une joueuse doit prouver qu’elle possède les compétences et la maitrise nécessaires pour pratiquer le roller derby sans danger pour elle et les autres dans le respect des règles. C’est l’objectif à atteindre de toute joueuse en devenir, avec le travail intense et l’horrible pression qui l’accompagnent.
Nouvelle joueuse débutante qui n’a pas encore obtenu les Minimum Skills. Cajolées par leurs derby-marraines et malmenées par leurs coachs cruels, elles sont la joie du renouveau et le bonheur de l’innocence de la Ligue.
Membres de l’équipe d’arbitrage, à pied, indispensables à la bonne organisation d’un match. Ils sont chargés d’assister les arbitres à différents postes tels que : Score keeper (comptabilisation des points indiqués par le Jam Ref), Box Timer (chronométrage du temps de prison), Penalty tracker (tient le compte du nombre de fautes mineures et majeures de chaque joueuse), wrangler (celui qui court après les arbitres pour répéter les fautes annoncées), jam timer…etc.
Partie de l’entrainement s’effectuant sans patins, contenant surtout du renforcement musculaire, et c’est une partie de plaisir dont les Rollergirls sont très friandes!
Groupe contenant le plus grand nombre de bloqueuses patinant à proximité (séparées d’une distance maximale de trois mètres) dans les limites de la piste et constitué de joueuses des deux équipes.
Un match dure une heure divisée en deux périodes d’une demi-heure.
Bloqueuse ayant une fonction supplémentaire : elle peut recevoir le « passage de l’étoile ». Elle est reconnaissable grâce à une bande transversale sur son couvre-casque.
Nouvelle joueuse ayant fraîchement passé et réussi les Minimum Skills, qui débute la phase s’apprentissage du jeu.
Surnommée affectueusement la box, il s’agit d’une zone délimitée où sont placés les sièges sur lesquels les joueuses effectuent leurs pénalités. C’est le banc des punies.
Seuls modèles de patins autorisés sur une piste de Roller Derby. Ils ont la spécificité de posséder quatre roues non alignées, disposées en deux rangées de deux roues. Prunelle des yeux d’une rollergirl.
Arbitres officiels en patins. Ils valident les points marqués par les jammers, déterminent qui est Lead Jammer et infligent les pénalités. Ils sont responsables du bon déroulement du jeu.
Rencontre non officielle entre deux groupes mélangés appelés « équipes », et portant en général un T-shirt noir ou un T-shirt Blanc pour plus de commodité. Grand moment de plaisir. L’évènement peut être public ou non, cette rencontre ayant plus valeur d’entrainement que d’un truc officiel, qui n’est pas pour autant moins pris au sèrieux qu’un truc officiel.
La piste ovale respectant les dimensions de WFTDA.
Action d’aider une coéquipière de son équipe en la propulsant. Il est possible de lancer la jammer avec le bras, de la pousser, ou de lui permettre de s’accrocher à ses hanches ou à ses épaules pour qu’elle se propulse elle-même.
Women’s Flat Track Derby Association (http://wftda.com), elle représente la tête pensante internationale du roller derby, et est une organisation permettant aux ligues de collaborer et de fonctionner en réseau. Elle a normalisé les règles, les saisons, et permet une uniformisation pour un meilleur fonctionnement inter-ligues.